Justice
- Contrôle instantané de l’admission à l’immigration, permis de travail instantané, avec délai de carence, pour l’ouverture aux droits sociaux, pour un période à définir par les citoyens qui paye les impôts.
- Remise de visa sans délai, mais avec des contrôles personnels et individuels pour éliminer tout risque de mettre en danger les citoyens e la France.
- Toute personne de nationalité française récidiviste condamnée avec privation de liberté, sera obligée d’effectuer un travail d’intérêt général et rémunéré pour le remboursement des frais de justice et de Police.
- Toute personne condamnée et récidiviste, étrangère, sera reconduit hors du sol français ou il lui sera accordé un délai pour quitter le sol français.
- Tout citoyen français étant condamné sera obligé de rembourse le frais de séjour inflige par la perte de sa liberté.
Toute personne condamnée sera à sa sortie de séjour, dû à la perte de liberté, assisté psychologiquement et pour la recherche d’emploi à ses dépens, avec remboursement au citoyens qui en fait l’avance des frais
Reconnaître la démocratie serait une preuve de liberté d’entreprendre, reconnaître la valeur du travail est une preuve de partage du progrès social, de la dignité avec humanité et de la prospérité des citoyens
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Justice
POMPOSELLI Carlo
112 RUE RAMBUTEAU
75001 PARIS
TEL 0783317425
E-Mail :ilcardinale@yahoo.fr
Lettre ouverte
Afin que la dignité de la personne soit respectée et l’argent des contribuables ne soient plus gaspillé
à
Monsieur le Président de la République
François Hollande
Ministre de l’intérieur M. Bernard Cazeneuve
Procureur de la République à Paris et aux Commissariats de Police
Association des handicapés de France
Suite à la communication téléphonique du 9 JUILLET 2016 et à la demande d’un responsable du Ministère de l’intérieur d’avoir à communiquer les circonstances.
Sur les faits :
Suite à une fausse déclaration au commissariat de Police à Paris 1er rue P. Lescot, une brigade de Police de 7 ou 8 Policiers s’est transportée à mon domicile vers 18h20 : Pomposelli Carlo, Handicapé sur chaise roulante, souffrant de la dernière opération datant d’un mois et demi environ, 112, rue Rambuteau Paris 75001,
Déclare, la porte a été ouverte par un enfant et les Policiers sont entrés pour me parler dans la salle à manger où, sur la table j’ouvrais le courrier.
Un des policiers s’est approché sans mandat d’amenée ni de lettre du procureur de la république et me recommandant de le suivre.
J’ai refusé de les suivre et de sortir de mon l’appartement. Ils ont persisté dans leur demande avec la menace du transfert de force en précisant que tout est enregistré avec leur caméra fixée sur leur tenue vestimentaire.
Afin de ne pas traumatiser mes enfants, j’ai accepté de les suivre après avoir donné le passeport, et avoir déclaré que je suis le Président d’une nouvelle association politique, sans avoir eu connaissance du motif de cette interpellation abusive et illégale.
J’ai été amené de force au commissariat central du 2è arrondissement de Paris, 2è étage
18 rue du Croissant où j’ai été présenté à l’officier de police judiciaire de garde, une dame, vers 19h20.
Cet OPJ m’a injurié pour me rebeller et créer les conditions de l’insubordination. Comme la loi le permet, j’ai demandé la présence d’un médecin, compte tenu de ma condition de santé bien expliquée aux policiers intervenants et à l’OPJ dudit commissariat; après quoi il m’a été signifié ma garde à vue, sans interrogation ni explication vers 19h45 en précisant de bien se rappeler d’elle-même, son visage et qu’elle « décide de ma vie »
Je suis passé dans un autre bureau au R de C pour la fouille et récupérer mes affaires personnelles ; j’ai demandé à parler au chef de poste de police.
Un policier se déclarant être chef de poste commence par me provoquer à plusieurs reprises, qu’il est le seul à décider de ma vie, aux fins de créer les conditions d’insubordination. Il m’a fait
Menotter par un autre policier et attaché à un banc en bois dès 20h20 et subissant les injures de tous les autres policiers du commissariat.
Malgré mes demandes réitérées pour être visité par un médecin et assisté par un avocat.
Suite à une crise, j’ai été transporté en urgence à l’hôpital Hôtel Dieu dans la nuit de dimanche vers 3h ou 4h du matin. Un médecin a fait un diagnostic verbal de ma santé.
- Une hospitalisation, sans médicament ni alimentation ni eau,
- J’ai eu une crise urinaire qui m’a valu des insultes de l’infirmière.
- L’Agent de Police Judiciaire, Mme Olivia Innocent du Commissariat du 1er Arrondissement de Paris, s’est présenté et a essayé de me proposer une audition sans avocat. J’ai été obligé de renouveler ma demande d’avocat après quoi elle m’a informé qu’il fallait attendre encore 2h et 3h.
- Après avoir dévoilé l’objet de l’interpellation, j’ai seulement renouvelé ma demande d’un avocat et indiqué un témoin, Qui vit jour et nuit dans mon appartement.
Vers 15h l’avocat d’office s’est présenté et l’interrogation avec l’Agent de Police a eu lieu et à la fin de celle-ci, l’agent Olivia Innocent a appelé le Procureur de la République pour la prolongation de la garde à vue. Pour des raisons de procédure, la garde à vue a été prolongée de 24h aux fins de confrontation et autres qui a eu lieu lendemain, lundi.
Toutes tentatives d’obtention des médicaments et d’explications m’ayant été refusées, j’ai estimé qu’il était nécessaire de faire la grève de la faim dans l’hôpital.
De plus, placé devant les fausses déclarations de la plaignante, la police n’avait plus de raison de m’accuser et de me faire subir une garde à vue complémentaire et autres privations inhumaines.
C’est dans ces conditions et contre le mauvais traitement qui m’a été infligé sans raison que je me suis trouvé dans l’obligation de porter plainte avec constitution de partie civile contre :
- La plaignante
- La police pour m’avoir obligé à suivre des agents sans mandat, constituant une faute professionnelle.
- La police judiciaire pour injures et mauvais traitement durant la garde à vue, pour ne pas avoir respecté le délai de la garde à vue assisté d’un avocat
- La police pour avoir assisté et avoir autorisé la plaignante au pillage de mes affaires personnelles, documents, et autres en garde mais ne m’appartenant pas.
Cette plainte n’a pas été jugée recevable par les commissariats :
- Rue Pierre Lescot Paris 75001 Paris
- Place du marché St. Honoré 75001 Paris
- Rue du Croissant Paris 75002 Paris
Aucun de ces commissariats n’a voulu me communiquer les coordonnées de l’avocat d’office au motif qu’il n’a pas le droit de les divulguer.
Dans ces conditions, une plainte distincte sera adressée à chaque intéressé afin de leur faire prendre conscience que la loi n’est pas respectée par ceux qui sont chargés de la faire respecter, au détriment des citoyens honnêtes, et que en cas de besoin la cour européenne des droits de l’homme sera saisie.